Actualités

Suite à l’adoption de la Loi sur les Opportunités de Croissance par le Conseil Fédéral Allemand, il a été décidé que les entreprises doivent être capables d’émettre et de recevoir des factures dématérialisées à partir du 1^er janvier 2025. Pour s’assurer que l’opération de passage des factures papier à des solutions, a priori plus simples, offertes par les factures dématérialisées est un succès, il y a plusieurs aspects à prendre en considération.

Une réglementation issue de la loi

Après avoir été juste une option possible, la facturation électronique, aussi appelée e-facturation, deviendra une obligation légale en Allemagne d’ici quelques mois. L’édition, la transmission, la réception et le traitement des factures dans un format électronique structuré sont des prérequis pour être en conformité avec cette nouvelle obligation d’e-facturation. Parallèlement, les factures allemandes doivent être conformes à la norme européenne EN 16931 sur la facturation électronique (Directive 2014/55/EU publiée le 16.04.2014).

Cependant, les organisations n’ont pas encore l’obligation de s’affranchir des factures papier dès maintenant. Une période de transition a été accordée jusqu’au 31 décembre 2026. Si leur chiffre d’affaires de l’année N-1 est inférieur à 800 000 euros, il est même possible de continuer d’utiliser des factures papier jusqu’à la fin de 2027. Pendant cette période transitoire, les factures papier et les e-factures qui ne sont pas conformes au nouveau format pourront être échangées entre l’envoyeur et le destinataire. Cependant, le destinataire de la facture devra donner son accord explicite concernant cet écart par rapport à la norme établie.

Priorité n°1 : Réception des e-factures

A partir de l’année prochaine, toutes les entreprises en Allemagne devront au moins être équipées pour recevoir et traiter des factures électroniques conformément aux nouvelles exigences réglementaires. Les petites entreprises ou organisations qui traitent uniquement avec des clients privés (entreprises spécialisées dans le B2C) devront également vérifier si la réception d’e-factures peut déjà être mise en place à la fin de l’année. En effet, certains de leurs fournisseurs pourraient potentiellement passer exclusivement aux factures électroniques.

En revanche, au niveau des factures que les entreprises envoient à leurs clients finaux, il faudra obtenir le consentement de ces derniers avant de leur envoyer une e-facture.

Choix du format

Nous avons vu la théorie, mais quelles sont les suites logiques et pratiques à donner pour les entreprises ? Dans quel format pourront-elles choisir d’envoyer leurs factures dans le futur ? La Loi allemande sur les Opportunités de Croissance ne donne pas une réponse claire à cette question, car aucune réglementation sur le format des factures n’a été publiée à ce jour. Cependant, le Ministère Fédéral des Finances (BMF) a commenté cet aspect dans sa version préliminaire de son document sur l’édition de factures en conformité avec la Section 14 de l’UStG. Par exemple, les formats XRechnung et ZUGFeRD sont conformes, alors que les documents purement PDF ne le sont pas.

Le format XRechnung a été développé comme un format structuré qui est strictement conforme aux exigences spécifiées dans le groupe de normes EN 16931 ; ainsi, il est reconnu à travers le pays. Grâce aux échanges de données XML, le contenu peut être traité de manière automatisée. Le format XRechnung est également utilisé pour des contrats publics depuis plusieurs années et il a déjà prouvé toute son utilité.

En plus de ces formats d’e-facture 100% structurés, il existe des formats hybrides qui remplissent toutes les conditions nécessaires pour être conformes, en particulier le format ZUGFeRD. En tant que format hybride, ZUGFeRD intègre des données de facturation structurées en format XML dans un document PDF (PDF/A-3).  Cependant, dans le cadre d’un passage à ce format, il faut noter que la conformité avec la norme EN 16931 n’est obtenue qu’à partir de la version 2.0.1 dudit format.

Les factures électroniques dans la vie professionnelle au quotidien

Au vu de l’échéance de plus en plus proche, quelques entrepreneurs commencent probablement à avoir des sueurs froides. Cependant, le processus pour être capable de recevoir, émettre, transmettre et traiter des e-factures d’ici 2025 peut être rapide et efficace si on utilise la bonne solution.

Depuis un moment déjà, ALVARA | Digital Solutions propose Fakturio à des prestataires de service à haute valeur ajoutée. Cette solution logicielle a été conçue pour tous les besoins de facturation automatisée et aide ainsi les commerces comme les institutions financières. En plus de l’aide apportée en matière de facturation de services et d’un reporting complet, l’objectif est également de créer et d’envoyer de manière automatisée des factures électroniques dans les formats les plus communs, XRechnung et ZUGFeRD, afin de décharger les utilisateurs de ces tâches au quotidien.

Utilisée conjointement avec le logiciel pour centres forts Pecunia, cette solution génère encore plus de valeur ajoutée avec un processus de facturation efficace. Ceci est possible car les données de base et les services effectués peuvent être transférés vers Fakturio via Pecunia. Ainsi, l’intégralité du processus est digitale et automatisée. Le risque que des services rendus ou des conditions spécifiques à un client ne soient pas pris en compte, ce qui peut arriver dans le cadre d’une facturation manuelle, appartient désormais au passé.

Conclusion

Les avantages de la facturation électronique sont multiples : elle élimine des processus manuels complexes, elle permet de gagner du temps et de faire des économies, et elle augmente la transparence dans le cadre du processus de facturation. Les entreprises devraient donc voir les factures électroniques comme elles sont : une aide au quotidien plutôt qu’une nouvelle obligation réglementaire non-souhaitée.

Vous souhaitez passer à la facturation électronique dès à présent ? C’est facile avec Fakturio !

Le point de bascule a été atteint il y a longtemps déjà. L’intelligence artificielle (IA) est aujourd’hui incontournable. La pression exercée sur les entreprises et les institutions pour qu’elles développent et exploitent des applications pour leurs industries respectives aussi vite que possible, qui était à la base presque indécelable, augmente de jour en jour. Les opportunités doivent être saisies et les risques évités. Les banques reconnaissent aujourd’hui la nécessité d’un changement et ont commencé à agir en ce sens.

L’intelligence artificielle : une composante du secteur bancaire dans le futur

Selon une étude conduite par Confinpro AG en collaboration avec VÖB-Service GmbH, 65% des 380 experts interrogés qui évoluent dans le secteur des services financiers en Allemagne sont convaincus que l’IA et les banques sont inextricablement liées. Cependant, si les organisations n’utilisent rapidement pas les dernières technologies comme l’apprentissage automatique, 87% d’entre elles sont convaincues qu’elles souffriront d’une position désavantageuse par rapport à leurs concurrents.

Pour de nombreuses banques, l’IA n’est donc plus juste un rêve distant. Selon un rapport de l’industrie, les deux tiers des banques et des assurances en Allemagne sont déjà en train d’utiliser des solutions impliquant de l’IA. Cela peut être les chatbots pour les applications bancaires, que les clients des banques peuvent utiliser pour communiquer avec ces dernières, ou alors l’automatisation de processus. Cependant, les participants à l’étude ne pensent pas que la prochaine étape de l’évolution peut être mise en œuvre sans aide extérieure. 72% d’entre eux voient les partenaires technologiques comme des soutiens essentiels pour continuer l’intégration des applications IA. En particulier lorsqu’il s’agit surmonter des obstacles ensemble.

Surmonter les obstacles

Les banques doivent faire face à des défis plus en plus nombreux, en particulier au début du processus de changement. Le fait de reculer devant ces défis et de remettre à plus tard cette mise en œuvre n’est pas une alternative raisonnable dans le cadre de l’évolution généralisée vers l’IA. Il est bien plus utile de reconnaître les difficultés initiales et de chercher des solutions activement. Les points suivants sont des obstacles caractéristiques :

• – Données manquantes ou qualité insuffisante de ces données
• – Expertise insuffisante en matière d’intelligence artificielle
• – Incertitudes concernant les obligations réglementaires liées (notamment à propos de la protection des données)
• – Infrastructure informatique obsolète
• – Absence de définition des objectifs et utilisation visée non clarifiée
• – Implication insuffisante de tous les spécialistes (départements comme employés)

Si les banques sont conscientes des défis individuels auxquels elles vont toutes être confrontées et qu’elles cherchent déjà des solutions avant même que le projet ne soit lancé, elles peuvent se renseigner sur les facteurs clef de succès en matière de projets liés à l’IA. Avec suffisamment de données de qualité, une expertise IT et une connaissance de leurs propres objectifs et des réglementations applicables, le succès de ce type de projet est facilement atteignable.

Des opportunités reconnues : des modèles IA pour le secteur bancaire

Mais quelle direction adopter pour les banques ? Au vu des multiples applications possibles avec l’IA, il est essentiel de déterminer les processus qui peuvent être automatisés de manière efficace, là où une interaction homme-machine est concevable et là où les collaborateurs doivent demeurer un point de contact indispensable. Dans ce contexte, trois scénarios d’avantages atteints grâce à l’IA peuvent être mis en avant.

Amélioration du service client : l’idée derrière cet objectif est bien connue. Si on connait bien sa clientèle, on peut lui donner des conseils personnalisés. C’est dans ce cadre que l’IA et ses algorithmes rentrent en jeu, générant ainsi des suggestions pour les conseillers bancaires par rapport à des fonds, actions ou obligations adaptés à leurs différents types de clients. L’IA peut également être utilisée pour automatiser l’analyse de risque de portefeuilles afin d’assurer leur sécurité et de maximiser la satisfaction de la clientèle.

Réduire la criminalité financière : des transactions suspicieuses peuvent être détectées avec l’aide de modèles créés avec l’IA. Par exemple, des applications analysent les transactions selon divers critères comme le montant, la devise, le pays destinataire et le type de transaction. Si des anomalies sont constatées, l’IA les signale à un conseiller de clientèle, qui peut alors revérifier l’information manuellement et faire suivre le dossier au service de criminalité financière s’il y a un doute sur la transaction. Ainsi, l’IA permet de combattre le blanchiment d’argent et autres fraudes fiscales/financières.

A l’abris de l’obsolescence grâce à l’IA

Que ce soit pour le service client, pour combattre la criminalité financière, pour remplir ses obligations en matière d’éco-responsabilité ou simplement pour optimiser ses processus internes, l’IA est déjà utilisée dans une large variété de services du secteur bancaire. Comme le nombre d’opportunités d’améliorations et de simplifications va augmenter dans le futur, les managers doivent se tenir au courant des dernières avancées en matière d’IA et saisir toutes les opportunités potentielles au plus tôt.

Êtes-vous déjà en train de réfléchir au potentiel de l’IA dans votre banque ? Si c’est le cas, nous avons de nombreuses solutions pour vous aide à vous lancer !

Qu’est-ce que les clients recherchent avant tout lorsqu’ils vont au restaurant ? D’excellents mets et boissons, une atmosphère plaisante, et de bons temps passés avec des amis ou de la famille. Ces points sont bien sûr en haut de la liste, mais un aspect crucial peut avoir un impact négatif sur leur satisfaction : une attente trop longue. Le chemin vers des processus efficaces est rapide grâce au soutien de technologies digitales.

« Alors, lançons-nous ! »

De nombreux facteurs rentrent en compte pour déterminer si une sortie au restaurant est un succès ou non. Un de ces facteurs est que le client bénéficie d’un bon service, avec une équipe qui prend les commandes rapidement, les sert et dresse l’addition avec efficacité. Selon les résultats de l’étude sur le secteur de la restauration « Orderbird », pour 90% des personnes interrogées, un service rapide est le facteur décisif pour rendre une sortie au restaurant plaisante.

Cependant, les équipes des restaurateurs ne doivent pas viser la rapidité à tout prix en négligeant ainsi d’autres aspects. Si les clients se sentent pressés par les équipes et que le contact client est expédié, cette rapidité sera contre-productive au niveau de l’expérience client. La qualité du service ne doit donc pas être impactée par la rapidité, mais cette dernière ne doit pas être négligée. Des processus simplifiés et efficaces sont ainsi recommandés pour satisfaire les clients et leurs exigences, de la salle de restaurant à la cuisine ou au bar.

Des processus digitaux et des tickets numériques

Si on examine les échanges entre les équipes de service et celles de cuisine ou de bar, on peut facilement voir un grand potentiel d’optimisation. A l’heure actuelle, cette communication inter-équipes dans les établissements de restauration se fait principalement via des tickets de commande en papier. Les commandes sont prises, imprimées puis traitées en cuisine. Et la fin de ce processus est toujours la même : le ticket de commande finit dans la poubelle à papier (dans le meilleur des cas). En plus du temps que cela prend d’imprimer et de placer le ticket au bon endroit en cuisine puis de compter combien de plats identiques ont été commandés, il devient nécessaire de remplacer ce processus pour des considérations liées à l’éco-responsabilité. Les écrans de cuisine connectés offrent de nombreux avantages à ce niveau. Les processus digitalisés et automatisés remplacent d’anciennes tâches manuelles (de la prise de commande des clients à la cuisine en passant par la caisse). Les tickets papier appartiennent au passé et doivent être remplacés par des alternatives plus éco-responsables, tout en offrant des économies de papier pour l’industrie de la restauration. Et les commandes peuvent être prises et traitées avec plus de clarté. Dans cet objectif, un écran est installé en cuisine pour afficher l’intégralité du processus de prise de commande.

Les écrans de cuisine en pratique

De nombreuses solutions offrent des fonctionnalités supplémentaires pour améliorer l’efficacité. L’écran connecté de cuisine proposé par ALVARA | Digital Solutions, qui a été développé en partenariat avec notre filiale it relations GmbH, optimise les processus et les workflows en cuisine et au niveau du bar en offrant des solutions à des difficultés rencontrées au quotidien. Des améliorations peuvent être atteintes avec des mises en avant visuelles. Si des nouveaux tickets s’affichent ou des commandes existantes sont modifiées, ces nouveautés sont clairement visibles sur l’écran de cuisine. Pour renforcer cette mise en avant, un signal sonore peut également être ajouté pour attirer l’attention des équipes immédiatement en cas de nouvelle commande ou d’annulations apportées à une commande existante. L’écran de cuisine permet d’obtenir une transparence complète par rapport aux demandes de la clientèle. En effet, des informations supplémentaires, comme des demandes particulières concernant certains plats ou boissons peuvent être ajoutées facilement. Les workflows configurables individuellement pour chaque membre de l’équipe garantissent également une efficacité maximale. En plus de la gestion complète des recettes, des processus individuels peuvent être séparés des autres. En affichant les différentes composantes, les différentes étapes peuvent être traitées les unes après les autres d’une manière qui est reconnaissable par toutes les parties prenantes et elles peuvent être « cochées » directement sur l’écran. La solution offre également une large palette d’applications possibles. D’une part, il est possible de connecter plusieurs caisses à un seul écran. D’autre part, les écrans de cuisine peuvent être connectés entre eux pour qu’ils soient utilisés dans différentes zones d’un même établissement, par exemple en cuisine et dans le bar. Un ticket de commande peut alors être affiché sur tous les écrans et pris en charge par l’équipe appropriée (boisson, plat). Cependant, les avantages des écrans de cuisine ne se limitent pas à l’optimisation des processus. Ils peuvent également être utilisés pour avoir une vue d’ensemble de la situation : par exemple, ils peuvent être utilisés pour conduire des analyses statistiques quotidiennes et ainsi procurer des informations sur le traitement des commandes et les temps d’attente, ou pour utiliser des indicateurs clef de performance, offrant ainsi un potentiel supplémentaire à exploiter.

Un passage à l’écran connecté facilité

Il est indéniable que les processus digitaux apportent des avantages notables pour ceux qui évoluent dans l’industrie de la restauration, que ce soit au niveau du service, de la cuisine ou du bar. Cependant, l’industrie peine encore à adopter ces nouvelles technologies à grande échelle. Une des raisons pour ce retard pourrait être la peur des coûts et du temps à consacrer à ces changements. Mais ces craintes peuvent être dissipées rapidement. En fait, une fois que le matériel et le logiciel ont été achetés et que les équipes ont suivi une petite formation, les opérateurs peuvent bénéficier directement des avantages de notre solution Kitchen Monitor en matière de gain d’efficacité, de réduction des coûts et, en fin de compte, de satisfaction de leur clientèle.

Etes-vous tentés par notre solution Kitchen Monitor ? Si c’est le cas, laissez-nous moderniser votre business ! Connectez plusieurs caisses et écrans avec la solution Kitchen Monitor.

Les humains ont une capacité d’attention encore plus faible qu’un poisson rouge. C’est en effet la conclusion d’une étude, mais qui ne fait pas vraiment honneur aux vertébrés ni aux humains, et que l’on pourrait raisonnablement remettre en question (la théorie des 8 secondes). Mais il y a tout de même un soupçon de vérité dans cette théorie. Après tout, le flot d’information auquel nous sommes soumis au quotidien peut représenter un réel défi pour notre mémoire. Nous décidons rapidement si nous voulons nous attarder sur un contenu en particulier pour lui consacrer plus de temps. Il en est de même lorsque nous sommes dans un magasin. Le défi pour les commerçants consistant à attirer notre attention ne peut plus être relevé uniquement à l’aide d’affiches et de banderoles.

Attirer l’attention et la conserver

Les commerçants devraient être guidés par une règle générale : les images dynamiques captent mieux notre attention. Ceci veut dire qu’elles augmentent notre degré d’attention et que nous nous en souvenons plus longtemps. Depuis de nombreuses années, la signalétique digitale illustre parfaitement cela sur les points de vente. La signalétique digitale dans des zones intérieures comme extérieures permet d’offrir une communication moderne et flexible qui peut comprendre des vidéos, mais qui doit avant tout faire impression sur la clientèle grâce à un contenu varié, qui crée ainsi de la nouveauté et donc de l’intérêt.

Les commerçants peuvent alors donner la place qu’il faut à leurs produits au quotidien. En même temps, ils gagnent en flexibilité car les modifications et ajouts sont implémentables facilement. Cependant, ces systèmes ne se limitent pas juste à ces fonctionnalités : en plus d’afficher du contenu, ils peuvent être utilisés comme des écrans tactiles par exemple. Cela encourage l’interaction avec les clients, une plus grande prise en compte du contenu et enfin une fidélisation accrue de la clientèle.

Des perspectives de vente enthousiasmantes

La plupart des commerçants sont aujourd’hui au courant d’autres avantages liés à la signalétique digitale, notamment la singularité, la rentabilité, la facilité d’utilisation et une approche client personnalisée. L’année dernière, une étude conduite auprès de 250 commerçants au Royaume-Uni a montré que l’utilisation de la signalétique digitale a eu un impact positif sur les ventes. Plus de 90% des commerces ont atteint leurs objectifs d’augmentation de leurs ventes après avoir investi dans ce type de solution.

Cependant, la mise en œuvre de la solution est encore d’être totalement généralisée. Un tiers des personnes interrogées n’avait pas encore utilisé la solution dans leur propre magasin. Une autre étude conduite il y a quelques années par Gesellschaft für innovative Marktforschung (GIM) pour le compte de la POPAI (Point of Purchase Advertising International, la principale association professionnelle internationale représentant les acteurs du marketing point de vente) a mis en évidence qu’en plus des soucis de « financement », l’absence d’un concept de communication était perçue comme l’obstacle principal pour passer le cap.

Besoin d’un concept !

Une préoccupation légitime : sans contenu approprié, créatif et captivant, le potentiel complet de la signalisation digitale ne peut pas être atteint. La priorité principale est donc de se fixer des objectifs au préalable. Ensuite, les commerçants doivent juste trouver le bon matériel et la bonne solution logicielle pour utiliser ce genre de système et ainsi convaincre leur clientèle de l’intérêt des produits mis en avant ou les motiver à profiter des offres proposées.

Lors de la sélection d’une solution, les managers concernés doivent prendre en compte l’aspect « facilité d’utilisation ». Il faut que les systèmes de signalétique digitale soient intuitifs pour les employés. Par exemple, notre solution Cloud Coffeeboard peut être gérée facilement depuis le bureau central du magasin. Cela permet également de réagir au contexte évolutif au quotidien.

Que ce soit via de la publicité en format vidéo, des campagnes promotionnelles, des affichages de prix, la signalétique digitale permet de présenter ses meilleures offres d’une manière moderne et efficace. Nous serions très heureux de vous conseiller sur ce sujet, sans obligation d’achat bien sûr !

Qu’ils soient en train de faire du shopping, de manger au restaurant ou d’aller au cinéma, les consommateurs ont en général le choix entre un paiement en espèces ou par carte de nos jours. Mais dans le même temps, un débat prend de l’ampleur : le cash est-il toujours approprié dans notre société ou est-ce que des méthodes de paiement digital pourraient le remplacer totalement ? Ce débat soulève des questions auxquelles des réponses doivent être apportées : comment assurer un approvisionnement fiable en espèces et quel serait l’impact d’un monde cashless sur la protection de la vie privée des consommateurs et donc de notre société ?

Le cash comme une garantie de protection des consommateurs

Les espèces sont toujours un des moyens de paiement les plus populaires à ce jour (source : Deutsche Bundesbank – Banque Fédérale d’Allemagne, étude sur les moyens de paiement « Zahlungsverhalten in Deutschland 2021 ») pour plusieurs raisons. Une d’elles peut certainement être attribuée à son importance vis-à-vis de la protection des consommateurs. En effet, les pièces et les billets protègent la vie privée et offrent une alternative pour ceux qui sont sceptiques par rapport aux paiements par carte ou via une application sur smartphone. Certaines personnes ont peur que la traçabilité des moyens de paiement digitaux va les transformer en des « clients transparents ». Les personnes plus âgées en particulier, qui sont en général moins à l’aise avec les technologies modernes, pourraient être marginalisées dans une société cashless.

Il est donc crucial d’avoir le choix dans le moyen de paiement. Ce postulat a également été démontré dans le « GLORY PAYMENT REPORT 2023 », qui rapporte que plus de la moitié des Allemands interrogés dans le cadre de cette étude estiment que le critère « choix du moyen de paiement » est très important. Les pays voisins comme l’Autriche et l’Allemagne attachent encore plus d’importance à cette liberté.

Une solution proposée

Une solution pour assurer un accès au cash pourrait être d’introduire un système « universel de dépôt et de recyclage », avec lequel des espèces pourraient être déposées et retirées dans des DABs non gérés par des banques. Cela permettrait notamment de réduire les coûts de fonctionnement des DABs, car ils devraient être re-remplis moins souvent, voire pas du tout. Le résultat souhaité serait de réduire les frais pour les consommateurs et d’obtenir un réseau de DABs plus dense à travers le pays.

Pour les commerces dans des zones rurales en particulier, cela permettrait de ne pas avoir à se déplacer jusqu’à leur agence bancaire, parfois située à de nombreux kilomètres. En effet, du fait de la fermeture de plus en plus d’agences, le trajet se rallonge chaque année pour de nombreux commerces qui veulent déposer leurs recettes en espèces ou récupérer de la monnaie (ceux qui sont prêts à faire ces kilomètres supplémentaires ne sont pour le moment pas affectés par une baisse de service). A ce jour, les dépôts universels de cash en Allemagne font également face à un défi lié à l’obligation d’identification du dépositaire d’espèces compris dans la Loi allemande contre le Blanchiment (« GWG »).

Durant la dernière période législative, le gouvernement fédéral de l’époque a identifié le réseau de DABs comme un critère central pour atteindre des conditions de vie équitables dans un de ses plans d’action, comme BDGW et AG Geldautomaten l’indiquent dans leur rapport. C’est parce que la mise à disposition de points de retraits d’espèces est un des services qui doivent être garantis, aussi bien dans des zones rurales qu’urbaines. Pour cette raison, le réseau de DABs doit recevoir le soutien explicite de la classe politique.

Conclusion

Le cash est essentiel pour protéger la vie privée des consommateurs et leur offrir une alternative aux paiements digitaux. L’utilisation de moyens de paiements cashless implique une dépendance à la technologie. Pour assurer une disponibilité constante d’espèces, les législateurs devraient soutenir l’utilisation des espèces et pourraient travailler avec les acteurs du monde du cash pour promouvoir de nouvelles solutions comme le système de dépôt universel d’espèces.

Etes-vous favorable à la liberté de choix ? Alors vous avez également besoin d’une gestion sécurisée, transparente et efficace du cash. Nous serions heureux de vous montrer comment ces concepts sont mis en application de manière concrète !

Il est enfin temps ! Depuis plusieurs mois, nous travaillions dur sur de nouveaux développements pour Pecunia, notre logiciel de centre fort, qui est largement éprouvé après 30 années de présence sur le marché. Le résultat ? La 7^ème génération de Pecunia, sous la forme d’un logiciel cloud.

Un changement de génération – avec un accent particulier sur les clients

Mais commençons donc par le commencement. Comment avons-nous eu l’idée de repenser complètement une solution établie et éprouvée ? Et bien, le logiciel et ses fonctionnalités évoluent au fur et à mesure de son cycle de vie. De nouvelles fonctionnalités deviennent nécessaires et d’autres plus anciennes demeurent d’actualité. C’était exactement le cas avec Pecunia. Nous souhaitions réduire la complexité qui s’était accentuée au cours des années, notamment pour continuer d’améliorer sa convivialité. Un nouveau design de l’interface était également sur notre to-do-list.

Mais en travaillant sur ce nouveau développement, nous voulions nous assurer que nous n’allions pas perdre de vue les besoins futurs de nos clients. Dans ce cadre, c’est une bonne chose que nos collègues ont des rendez-vous réguliers avec des clients dans nos locaux. Pendant ces réunions, notre équipe a récolté et analysé les nouveaux besoins et processus avec les clients. Ceci nous a ainsi permis de les intégrer dans la conception et le développement de Pecunia 7.

Pecunia 7 : A quoi pouvez-vous vous attendre ?

La nouvelle fonctionnalité la plus importante de Pecunia 7 est le fait que le logiciel soit une solution cloud. A l’origine, Pecunia était un logiciel en local classique conçu pour les centres forts, qui était donc installé sur les systèmes informatiques de nos clients.

Nous lui faisons donc honneur en passant sur une application cloud, parfaitement adaptée aux entreprises qui ont adopté une approche privilégiant le cloud. Après tout, neuf entreprises sur dix utilisent déjà des solutions cloud (source : Bitkom, 2023). Selon l’étude « Cloud Monitor 2022 » conduite par Bitkom, les organisations utilisent principalement un cloud privé. Cependant, une tendance vers l’utilisation de solutions hyperscaler pourrait se développer dans le futur. Près de 28% des entreprises interrogées dans le cadre de l’étude réfléchissent déjà à passer sur un cloud public. De notre côté, il est évident que l’architecture de nos solutions s’adapte(ra) à la stratégie digitale de nos clients.

Revenons-en à Pecunia 7 : nous proposons deux versions de celui-ci. Notre solution cloud peut soit être gérée par le client lui-même, soit il peut choisir de laisser ALVARA la gérer. Dans les deux cas, la solution (y compris la base de données) est toujours hébergée dans un data center. Cependant, dans le second cas, en tant qu’opérateur de la solution, nous pouvons garantir un support optimal et nous sommes disponibles plus rapidement en cas de besoin d’assistance.

La solution cloud offre également un avantage en matière de qualité de flux de données. Là où précédemment les données devaient être échangées entre différentes applications locales et des serveurs locaux dans les centres forts, tout fonctionne dorénavant via une base de données centralisée. Ceci permet non seulement d’éliminer les opérations de réplication, mais également de s’affranchir des pertes de performance potentielles associées.

Pecunia 7 offre également des fonctionnalités et bénéfices client supplémentaires :

• – L’application centrale est accessible via le navigateur et ne dépend pas d’un système d’exploitation en particulier
• – Disponible avec différentes devises et langues, notamment l’allemand, l’anglais et le français.
• – Pecunia 7 est adapté à une utilisation multi-client. Ceci réduit les coûts d’hébergement.
• – Pecunia 7 supporte les processus logistiques gérés par une seule personne.
• – ICP (indicateurs clé de performance) et optimisation : évaluation des chiffres clé et analyse automatique de la performance des centres forts.
• – Notre solution Fakturio, qui permet une facturation digitale totalement automatisée, fonctionne toujours de manière fluide.

Tous ces avantages combinés démontrent la pertinence de Pecunia 7 en tant que solution cloud pour tous les centres forts.

N’hésitez pas à nous contacter, nous serions heureux de vous informer de nos dernières innovations.

Votre curiosité a été attisée et vous êtes tentés par l’ajout d’une nouvelle solution logicielle pour votre centre fort ? Nous sommes à votre disposition pour en discuter plus en détail avec vous !